Cette interactivité bilatérale modifie la dynamique par rapport aux images statiques ou aux vidéos préenregistrées et introduit des dimensions sociales, psychologiques et sécuritaires supplémentaires.

Un sujet central dans les discussions sur l'activité webcam est le **consentement et le contrôle**. Un modèle webcam peut choisir  cam chat  ce qu'il veut montrer ou non, ce qu'il veut refuser et quand arrêter la diffusion. Dans un contexte éthique, le consentement est granulaire et continu.

Cependant, des risques subsistent : enregistrement non autorisé, doxxing, harcèlement, stigmatisation sociale et chantage numérique. constituent des préoccupations majeures. C'est pourquoi il est souvent conseillé aux personnes diffusant des contenus pour adultes d'utiliser des pseudonymes, de se masquer, de communiquer de manière cryptée et d'adopter une stricte hygiène d'identité.

Légalement et éthiquement, la principale limite concerne les mineurs : toute forme de contenu à caractère sexuel impliquant des personnes de moins de 18 ans est illégale à produire, à diffuser ou à visionner dans la plupart des pays et constitue un crime grave. Les plateformes légitimes doivent appliquer rigoureusement la vérification de l'âge et supprimer les contenus interdits.

D'une manière générale, « cam sexy » n'est donc pas seulement un terme d'argot sur Internet : il désigne une pratique médiatique réglementée pour adultes, à l'intersection de la technologie, de l'économie, du consentement et du droit**.